Leureduthé

Leureduthé souriat en voyant la lame se planter dans le coeur du garde. Lorsque celui-ci parlat de sa famille l'assassin souriat de plus belle et lui chuchotat: Ne vous en faites pas, ils vous rejoindront bientôt ainsi leur malheur ne durera pas.
*Bien, maintenant je dois sortir d'ici.* Leureduthé s'approchat du corps du gardien et commençat à le fouiller.

ps: Je met l'épée courte et le fouet dans mon inventaire ou pas ?

HJ : Ouais tu rajouttes la lame ainsi que le fouet.

Carac de la lame :
F = +3
V = -1

Carac du fouet :
F = +1
V = -0

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En fouillant le garde, vous trouvez deux trousseaux de clefs : certainement celui des cellules, et celui de sa maison... En arrivant a ses poches, vous trouvez 10 Piècettes d'Or.

Leureduthé souriat en sentant les pièces. *Très bien, maintenant je part d'ici.* L'assassin installat le cadavre du garde dans son ancienne cellule et le plaçat de façon à se que l'on ait l'impression qu'il soit assomé. Après cela il commençat à sortir de la prison en se cachant des gardes.

Vous arrivez en face d'un endroit qui vous semble très interressant quoique un peu stupide de votre part: Le fond du couloir à cachot... Que faire au fond de ce couloir peu éclairé mis à part écouter le délire des vieux prisonniers?

Leureduthé s'approcha et pesta lorsqu'il vit le cul de sac. Il se retourna sans un regard vers les autres prisonniers et repartit à la recherche de la sortie.

Vous avez un long couloir qui serpente un peu de temps, puis une porte entr'ouverte où vous apercevez la lumière du soleil passer entre la porte et ses gonds et la porte et le mur.
Il y avait le soufle du vent, les gazouillis des oiseaux, l'air pur qu'y s'en echappait. Ce zeste de vie vous fit frémir. Cela vous semble si loin, la lumière du soleil...

Leureduthé regarda la porte, impassible. Il leva le pied pour avancer mais ce ressaisit. *Imbécile, c'est trop facile." L'assassin regarda autour de ui s'il n'y avait pas d'autres portes.

Ah, non, il n'y avais pas d'autre porte... Mais le couloir continuait, se replongeant dans les ténèbres...

Leureduthé regarda autour de lui et, ne voyant aucune autre porte, commençat à avancer vers la porte et la lumière du soleil. L'assassin avançait cependant avec prudence, le fouet dans la main gauche et l'épée courte dans l'autre.

Vous avancez, avec une peur qui vous clouait au sol... Traînant les pieds vous trébuchez contre une des dalles mal agencées, poussez la porte, et vous vous fracassez la tête par terre, mais sans gravité. Vous tombez dans une cour, pavée, et murée, mais le mur n'est pas loin et la grille de la prison est ouverte. Il n'y a aparement personne dehors, et vous frissonnez de plus belle en sentant la chaleur du soleil. Vous diriez que vous étiez en plein été, mais en fait le soleil est bas. Vous en déduisez que vous êtes plutôt en automne ou au printemps. Pourtant la chaleur sentie n'avait pas d'égal dans vos souvenirs.
Vous êtes donc allongé sur le ventre par terre, le fouet dans une main, l'épée un ou deux mètres devant vous.

L'assassin se releva et regarda de nouveau autour de lui, il avait un mauvais présentiment.

*Soit cette ville est complètement morte soit il y a une de ces saletés de mage qui me fait croire que je suis libre alors que je suis encore en prison oit c'est un piège qui se refermera sur moi si je passe cette grille.*

Leureduthé faisait fonctionner ses méninges à une vitesse folle et souriat. Il s'approchat du mur et tendit son bras pour le toucher.

Donc, après vous être relevé et repris vos armes diverses, vous avancez vers le mur de la prison, qui semble chaud à vos mains rêches, froides et blanches... Les pierres du mur sont un peu beiges claires, mais vos mains sont encore plus pâles.

Leureduthé regarda rapidement le mur, se recula et commençat à courir pour sauter lorsqu'il s'approchat trop du mur afin de commencer à l'escalader.

Vous courez, comme le vent, et sautez, avec une vivacité vous étonnant vous-même, puis vous vous aggripez à la corniche. Vous avez fait un bond impressionnant, et vous en êtes fier. Vous en avez même un peu de vertige!

Leureduthé souriat lorsqu'il se rendit compte de son bond puis se hissa en haut du mur avant de commencer à redescendre de l'autre côté.

Vous retombez sur vos pieds, sans autre forme de problème, avec une superbe vue de collines verdoyantes et pleines de vie, illuminée par un soleil de plomb. Un palace pour n'importe qui. Mais vous regardez quand même avec amertûme la grille ouverte de la prison, vous qui avez escaladé. Mais il n'y avait aucun problème. Vous êtes sur un santier pavé malhadroitement, avec des touffes d'herbe sortant par-ce par-là des jointures des dalles. Avec un panneau devant:
Gauche: Pont ouest
Droite: Yddragsïl, centre de commerce portuaire de l'Iladragan.
et: Toute autre directions.

Leureduthé regarda la grille ouverte, il n'y avait apparament jamais eu de piège. Il souria.

*Bah, cela m'a fait faire un peu d'exercice, je craignais d'être rouillé*

L'assassin regarda le panneau : Yddragsïl ? Une cité portuaire qu'il ne connaissait pas et donc où il pensait ne pas être connu.

*Tant mieux, peut être un endroit où je pourais profiter un peu des gens.*

Il sortit les clés de maison du gardien en se demandant.

*Est-ce qu'il habiterait là-bas ?*

Leureduthé commençat donc à marcher le long du sentier, vers la ville, le fouet à la ceinture et l'épée attachée à la jambe. Au passage il arrachat un peu d'herbe qui dépassait des dalles et se les glissa dans sa poche.

Vous avancez sur la route, tranquille, bercé par la lumière éclatante et le chant des oiseaux... Vous pensez sûrement à rien de néfaste. Mais, avec une chance inouïe (HJ: 12 aux dés...), vous arrivez à distinguer un objet chatoyant dans l'herbe raze d'un près plein de vaches bizares, noires avec une bosse au milieu et de longs poils... Et des longues cornes aussi...

Leureduthé regardait autour de lui en marchant et aperçut un objet dont il n'était pas sûr de la nature. Il s'en approchat lentement en suivant l'un des conseils de son grand-père par rapport à tout ce qui avait des cornes c'est à dire : Eviter de trop s'en approcher et lui planter une dague dans la tête si lui s'approche trop.

Vous avancez, sautez agilement au-dessus d'un fossé séparent la route du pré, et arrivez à côté de l'objet... Une clef argentée, plutôt petite, comme pour ouvrir un cadenas...

hj: Désolé pour ce trop long temps de réponse. J'ais eu de gros prob d'ordi.

dj: Leureduthé arriva devant la petite clé et se baissa en regardant autour de lui comme pour vérifier qu'il n'y avait pas de pièges et qu'aucunes des vaches n'ait envie de de tester la résistance de son corps face à l'une de ses cornes.

hj: pas grave. Au moins, tu passes ^^

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Vous marchez, ramassez la clef, sans autre formes de difficulté. La clef était en argent, un peu tordue, mais avait l'air de toujours fonctionner.

Leureduthé sortit du champs et repris la route.

[hj: C'est vraiment court mais je n'est pas vraiment d'autres données donc je reprends ma route]

HJ: Pas vraiment grave en ce moment ^^

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Sur la belle route ensoleillée et même un peu trop chaude, vous avancez, avec de plus en plus de difficulté, dans la lourdeur du climat ambiant. Soudain, vous sursautez et tressaïez en voyant un long fil blanc-transparent et collant tombant de la cime de deux arbre, arbres que vous vous aprêtiez à franchir.

Voyant le fil tomber de là où il se serait trouvé quelques secondes plus tard l'assassin fit un bond en arrière. En même temps il sortit le fouet de sa main libre et regarda rapidement autour de lui. Leureduthé recula encore un peu avant de lever les yeux au ciel. Là, et avant d'analyser ce qui ce passait, il fit claquer le fouet vers la cime des arbres.